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domingo, 12 de abril de 2015

Il y a des murs à abattre et des Murales à protéger

 Les Murales de Diego Rivera, à Detroit (USA) doivent être inscrites au Patrimoine mondial de l'UNESCO.
UNESCO must register The Murals of Diego Rivera in Detroit on the list of World Heritage Sites   
       ATUALIZAÇÃO DO ABAIXO-ASSINADO
Nous continuons d'avancer. 
Paris, França11 de abr de 2015 —
Cher-e-s Ami-e-s,
Notre action continue de se faire connaître auprès d'un public qui s'élargit et ne cesse de s'internationaliser.
Chaque jour, plusieurs personnes déclarent, sur notre page Facebook, aimer notre action.
Dans le même temps, nos contacts avec les représentants des USA auprès de l'UNESCO se renforcent.
Hier, 8 avril 2015, j'ai eu la confirmation que notre demande était suivie, à Washington, par Jonathan Putnam (US National Park Service Office of International Affairs) et, à Paris, par Scott Turner (Premier Secrétaire de la Délégation permanente des USA auprès de l'UNESCO).
Il a été convenu que je reprendrai contact avec Scott Turner après le 23 avril prochain, à l'issue de la 196ème Conférence plénière du Conseil exécutif de l'UNESCO qui débute aujourd'hui.
Je lui renouvellerai alors notre demande de RDV. Notre délégation sera composée de trois membres (Mexique, USA et France).
Je ne manquerai pas de vous tenir informé-e-s de l'évolution de notre action.
D'ici là, je sais que je peux compter sur vous pour continuer de nous soutenir et faire connaître notre initiative.
Amicalement.
Dominique F. Dionisi
Porte-parole de l'Appel international "Préservons les Murales de Diego Rivera à Detroit-USA"



2015-04-11


segunda-feira, 8 de dezembro de 2014

Campanha para que a UNESCO declare os Murais de Rivera (Detroit) Patrimônio Cutural da Humanidade


Réaction à la réponse de Jonathan Putnam
Dominique DIONISI
Paris le 03.12.2014
A tous les signataires de l'Appel international pour la Préservation des Murales de Diego Rivera à Detroit, USA.
Précédant ce message, un autre vous est parvenu (le 02.12.2014) par lequel je vous informais de la réponse de Monsieur Putnam (enfin!!).
Ici, je vous donne pleinement mon sentiment et je compte sur vous pour me faire part de vos remarques, de vos suggestions ou de vos critiques.
Mon inquiétude - à l'origine de l'Appel international soutenu par les personnalités signataires (que je remercie encore pour leur engagement qui m'a beaucoup aidé) - sur la préservation et l'avenir des Murales de Diego Rivera, n'est pas vraiment écartée.
Trois raisons à cela:
L'expression "Grand Bargain" employée par Mr Putnam pour qualifier l'opération de conservation du DIA ne me rassure pas vraiment. Les différentes interprétations qui peuvent correspondre à "grand bargain" renvoient toutes à la notion de marchandage voire de "petits arrangements entre amis". En effet, si je m'en tiens à l'un des principes de base de l'action commerciale selon lequel "une bonne affaire est celle où les DEUX parties sont satisfaites", je crains que dans le cas présent seule une partie, à savoir les investisseurs privés, les sociétés financières et les "marchands d'Art", soit considérée.
Mais rien sur l'aspect "public". Pas un mot de la part de Mr Putnam au sujet de la demande d'inscription des Murales sur la liste du Patrimoine Mondial de l'Humanité sous l'autorité morale de l'UNESCO. (Destaque do blogueiro)
A aucun moment, l'article du N.Y.Times ne cite les Murales de Diego Rivera (433 m²) qui, comme leur dénomination l'indique, sont peintes sur des murs donc des supports immobiliers. A contrario, il y est beaucoup question des œuvres meubles, déplaçables comme les tableaux ou sculptures, dont chacun sait que devenues propriétés privées elles ne sont plus qu'objet de spéculations financières, très exceptionnellement motivées par l'amour des Arts.
Bien que je maîtrise très mal la langue de Shakespeare, je ne crois pas avoir lu un seul mot sur l'avenir des bâtiments, donc des Murales. Où est-il écrit que jamais les murs du DIA ne seront utilisés à une autre fin que celle demusée public et resteront le bien commun de la population de Detroit?
Il est très important que celles et ceux d'entre vous qui pratiquent bien l'anglais n'hésitent pas un seul instant à me dire si je suis dans l'erreur.
Dans l'attente du plaisir de vous lire ou vous entendre,
Cordialement.

sábado, 6 de dezembro de 2014

Rivera (Detroit) Patrimônio da Humanidade

Campanha para que a UNESCO declare os Murais de Rivera (Detroit) Patrimônio Cutural da Humanidade


Jonathan Putnam, l'un des représentants étasuniens auprès de l'UNESCO nous fait une 1ère réponse 


Message original --------
Sujet: Re: Preserve murals of Diego Rivera in Detroit (USA) 30.11.2014
Date : Tue, 2 Dec 2014 15:36:05 -0500
De : Putnam, Jonathan <jonathan_putnam@nps.gov>
Pour : <dominique.dionisi@recloud.fr>
Copie à : Taylor, Robin <taylorrx@state.gov>, Collectif MURALES DIEGO RIVERA DETROIT <muralesdiegoriveradetroit@gmail.com>, <dl.france@unesco-delegations.org>


Dear Ms Dionisi, 
Thank you for your interest in the Diego Rivera murals at Detroit Museum of Art. In case you have not yet heard, a so-called "Grand Bargain" was agreed to recently which will assure the protection of the Detroit Museum of Art and its collections, including the Diego Rivera murals - see
http://www.nytimes.com/2014/11/08/arts/design/grand-bargain-saves-the-detroit-institute-of-arts.html
I am sure you will join us in celebrating this good news. 

Sincerely, 
Jonathan Putnam
Office of International Affairs
National Park Service
1201 Eye Street, NW (0050)
Washington, DC 20005
(202) 354-1809


2014-12-06 

terça-feira, 22 de julho de 2014

Rivera em Detroit: Patrimônio da Humanidade

Deu no Le Monde Diplomatique
20-07-2014, por Evelyne Pieiller
  
"Vendre à quelques-uns ce qui appartient à tous: Detroit en faillite, Diego Rivera aux enchères".  



Un gros plan du panneau de la cour du Detroit Institute of Arts
Photo de Lars Plougmann
(..) En 1932-33, Rivera est à Detroit, où, à l’invitation de la Fondation Ford, il peint vingt-sept panneaux bordant la cour intérieure de ce qui sera le Detroit Institute of Arts. Quand l’une de ses compositions, L’Homme et la Machine, montre les étapes de la construction du moteur de la Ford modèle 32, ce sont à la fois la puissance collective de la création humaine et le déploiement de l’aliénation qui sont saisis, avec une simplicité porteuse de visions épiques. L’œuvre de Rivera, marxiste, ami de Léon Trotski et d’André Breton, tenant d’une modernité engagée et dans la recherche formelle et dans l’action politique, suscitera des commentaires affolés, en particulier dans l’Amérique du maccarthysme. Mais c’est aujourd’hui qu’elle est véritablement menacée: le procès pour faillite de la ville de Detroit commence le 14 août. Il va falloir trouver de l’argent, afin de payer les créanciers, alléger les compressions imposées aux retraites, etc. (...)
Adressé à Madame la directrice générale de l’Unesco et Monsieur l’ambassadeur délégué permanent du Mexique auprès de l’Unesco, et destiné à M. Jonathan Putnam, le directeur de l’US National Park Service Office of International Affairs, un appel international circule, demandant l’inscription de ces murales au patrimoine mondial de l’humanité, pour les protéger de cette entreprise de privatisation, qui montre admirablement, quels que soient les pudeurs et freins destinés à atténuer le choc, la logique d’un système : il n’est de valeur que marchande.

Leia a íntegra da matéria em  
 

Clique em 
un appel international circule 
e  participe da campanha para  

Declarar los Murales de Diego Rivera en Detroit USA, como Patrimonio mixto Mundial de la Humanidad / Intangible Cultural Heritage of Humanity of UNESCO.


2014-07-22